Voici quelques illustrations de cet article où j’explique en quoi ce dispositif m’a maint fois donné satisfaction :
– pour approcher à distance des espèces sensibles tels les rapaces [ici, un faucon pèlerin (Falco peregrinus) capté du pied de la falaise],
– donner du relief à une cacophonie générale [ici, des pinsons du Nord (Fringilla montifringilla) en dortoir en comparaison (là) de la même ambiance donnée par un couple d’omnidirectionnels],
– ou encore, replacer un sujet dans son biotope [ici, une lusciniole à moustaches (Acrocephalus melanopogon) en Camargue]
Et, d’ailleurs, que pensiez-vous de ces enregistrements que vous avez peut-être déjà eu l’occasion d’entendre sans savoir qu’ils étaient réalisés par ce procédé atypique ? :
– la plage n° 7 intitulée « Myriades » du CD n° 4 (ici), qui comporte la même séquence que le dortoir ci-dessus,
– la plage n° 6 intitulée « Chevêchette d’Europe » du CD n° 8 (ici),
– l’article du blog intitulé « La saison des rouges-gorges » (ici),
– ou encore celui nommé « Mars et ça repart » (ici).
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