22 mars 2009 en forêt de Sénart (91)
Ce matin je pars à l’aventure, traçant mon chemin au son des tambours. Le percussionniste qui, s’il n’avait cette frappe régulière et rapide, passerait inaperçu tant il est craintif et minuscule n’est autre que le Pic épeichette (Dendrocopos minor).
Mais le dimanche, la forêt accueille d’autres flux migratoires, et telles des perruches bigarrées et piaillant pour garder la cohésion du groupe, voici les premiers pelotons vélocipédiques.
Philippe VUILLAUME