Elles sont si étonnantes ces bestioles de la taille d’un jouet que l’on pose sur la table de nuit avant de s’endormir ; chacune nous chante sa petite note, brève ou longue, de flûte ou de basson ; discrètement, elles se concertent pour nous offrir une symphonie de la nuit de l’étang. Le temps s’étire alors doucement et on rêve qu’on est bien dans sa peau… Merci à Marc, Olivier et Fernand pour la captation de ces chants que j’ai réunis et re-composés pour rêver cette musique.
Jean Poinsignon